
J’ai été amenée à lire La douleur de Marguerite Duras, car l’institut français de Casablanca proposait une soirée cinéma avec l’adaptation de cette œuvre par Emmanuel Finkiel qu’il a réalisée l’année dernière. Avant d’y assister, je souhaitais me replonger dans l’écriture de cette autrice. Je connaissais le thème principal mais n’avais encore jamais lu cette œuvre. Il s’agit en fait d’un recueil de six nouvelles. La première est la plus longue, la plus développée.